• Avril 2013.

    En avance pour une fois !

    Quatorze mois !! Quatorze moi que je ne suis pas revenu mettre à jour mon blog. L’idée originelle de rédiger au moins un article par mois s’est évaporée depuis très longtemps. Comme mon parcours est loin d’être terminé, j’ai encore moult choses à écrire, donc je reprends la plume virtuelle.

    Il s’en est passé des choses. Je ne vais pas passer en revue le détail des 14 derniers mois. Je n’ai pas de trace écrite, et je me désintéresse assez vite de mon propre passé pour m’en souvenir chronologiquement et correctement. Je vais juste tenter de faire quelques liens avant de revenir au présent.

    Mais pour que le bond entre le dernier article et le présent soit des plus intéressants. J’écris en préambule quelques lignes sur l’imminence des événements : Je suis en vacances depuis hier et pour trois semaines. Léa va bientôt mettre au monde notre deuxième enfant (d’où mes vacances). Je suis cette année en master 2 de sociologie et je serai au même niveau l’année prochaine. Mais c’est voulu. Je travaille toujours trois nuits par semaine à l’hôtel. Et à la fac je suis entre le marteau et l’enclume pour des raisons de grand écart entre les deux laboratoires de sociologie. Ce n’est pas forcément apaisant pour l’esprit, mais cela aura le mérite de m’apprendre plein de choses sur les logiques internes à l’université. Je vous en dis plus après un bref retour sur mon passé.

    Quoi de neuf depuis 14 mois ?

    Je suis passé en Master 2 avec mention AB. 13, 8 de moyenne. Ça m’a cassé les couilles de passer à côté de la mention bien. J’ai eu 13 à mon mémoire de master 1. Là encore ça m’a cassé les couilles. Pour la double raison que j’ai rédigé à l’arrache (donc que j’aurais pu pondre un truc mieux) mais aussi pour ce 13 infâme donné au feeling en 5 minutes a huis clos par Mme Laklass « ça tient la route votre truc ». Avec 14, j’obtenais 13.92 de moyenne général, on me donnait peut-être la mention bien.

    Bref.

    Depuis 14 mois (je me fie un peu à ce que j’ai écrit les dernières fois sur le blog) je n’ai pas redonné de cours à domicile (peu de mission – je n’ai postulé qu’un fois et je n’ai pas été retenu, ou des missions à toujours plus de 40 kilomètres de chez moi).

    Sinon je suis toujours aussi gros, je n’ai toujours presque pas lu comme je le voulais. C’est toujours la merde financièrement.

    Cette année. Je suis depuis la fin de mon master 1, remonté plus que jamais contre l’université. Inique par excellence. Et comme je le disais en préambule de cet article, je me trouve entre le marteau et l’enclume. Mais laissez-moi vous donner quelques éclaircissements.

    J’ai cessé de porter Mme Laklass dans mon estime. Si ses cours brillaient par leur nouveauté en licence, leur rabâchage en master 1 et en master 2 m’ont consterné. Et si ce n’était que ça ! Mon sujet doit emmerder depuis longtemps le conciliabule de profs indéboulonnables sur leur îlot tranquille. Car mon sujet est une critique de la fac (pour faire court). J’ai pris Mme Laklass comme directrice de mémoire lors du master 1, mon sujet concernait alors mon boulot, et puis assez vite j’ai changé pour m’intéresser aux étudiants.

    Je n’ai jamais eu de retour suite aux mails que je lui ai envoyés. Et le jour de la soutenance c’est à se demander si elle avait lu mon mémoire. C’était en septembre dernier (j’avais demandé pour soutenir à cette époque pour pouvoir rédiger l’été). Entre temps je me suis rapproché de mon directeur actuel, M Chateaulez que j’avais eu en cours en master 1. Nous avons beaucoup correspondu par mail, nous avons pris des cafés ensemble. J’ai été séduit par sa tentative de demeurer objectif, par son ouverture d’esprit et par sa proximité avec les étudiants, dans le sens où il ne cherche pas à dissimuler. Il m’a montré des mails de profs et d’étudiants, il a aidé un étudiant étranger à avoir 2000 euros sur son compte (condition requise) pour pouvoir rester un an de plus sur le territoire pour finir ses études. Il a lu mon mémoire de master 1, l’a corrigé (nombreuses annotations) et m’a donné un compte-rendu construit et motivé.

    Bref : le mec fait son job !! Et je crois bien que c’est un des rares dans l’enseignement de sociologie que je suis.

    Pourquoi nous sommes-nous rapprochés à la fin de mon master 1 ? J’avais eu la meilleure note à sa matière lors du contrôle sur table. Il savait que je voulais continuer. On pense y trouver chacun notre compte (voir en ce sens la logique du don de Marcel Mauss, ou le principe de réciprocité en psychologie, c’est un peu pareil).

    A ce jour il est toujours mon directeur de recherche pour mon mémoire de deuxième année. Mais comme souvent les choses se compliquent car on est soumis à un système plus ou moins patent qui nous dépasse. Concrètement j’ai suivi au premier semestre des cours dans une branche de la sociologie ouverte cette année par Mme Laklass. A ce propos la formation fût annoncée avec beaucoup d’effets d’annonce mais fût relativement décevante au final. Le problème est que Mme Laklass fait partie du laboratoire A et M Chateaulez se trouve dans le laboratoire B. Il est lui-même victime de harcèlement. Et attention c’est du haut niveau. Un prof influent du labo A a arraché une annonce sur le tableau qu’avait posté M Chateaulez. Vous voyez le niveau.

    Pour ma part j’ai subi au final des pressions tout aussi hypocrites. Comme je suivais cette année le cours de Mme Laklass (affidée au laboratoire A) et que mon directeur appartient au laboratoire B, Mme Laklass puis l’un de ses vassal (M Spatule que je savais couard, et ça n’a pas loupé) m’ont fait comprendre qu’il serait dans mon intérêt de prendre comme directeur un des profs du labo A.

    En accord avec M Chateaulez, j’ai finalement déclaré a Mme Laklass avoir laissé tombé M Chateaulez, et j’ai donnée un thème bidon pour mon mémoire histoire d’être raccord avec le thème du premier semestre ! Tout ceci dans quel but ? Patienter jusqu’à l’obtention du relevé de notes du premier semestre (j’ai eu 13 tout rond) car je craignais qu’elle me fasse des coups tordus si je persistais à demeurer avec M Chateaulez. Je dispose à présent d’un écrit. Je vais donc bientôt me positionner officiellement à côté de M Chateaulez. Je dois encore éclaircir quelques points avec le responsable de l’université que j’ai informé de cet état de fait (sur les conseils de mon directeur).

    Et à ceux qui se demanderait pourquoi ne pas être resté avec Mme Laklass depuis le début, car avouons-le, je savais qu’il existait des dissensions entre les deux labos ? Pour la simple raison que je veux un avis et une note objective à mon mémoire. Je veux un seuil d’exigence maximal et un jugement dégagé au maximum de toute considération subjective (bien que l’exercice d’un mémoire et d’une thèse est toujours soumis à une certaine subjectivité). Mais pourquoi donc ? Car je suis en train de me griller sur la fac où je demeure actuellement. Je fais le sous-marin depuis quelques mois en attendant mon relevé de notes. Je vais bientôt faire un bras d’honneur à M Laklass et au labo A, donc c’est mort pour moi pour obtenir des vacations, des cours de TD et un comité de thèse qui sanctionnerait trois ans d’études par une notation généreuse comme on donne un bon point à celui qui vous caresse dans le bon sens et qui peu à peu vous ressemble. La solution !! J’ai obtenu du doyen de pouvoir soutenir l’année prochaine (donc en juin 2014). Je vais travailler d’arrache-pied pour vraiment pondre un mémoire de très haute qualité qui sera comme un CV pour me rapprocher d’un laboratoire dans une autre région (et pourquoi pas d’un autre pays, rêvons merde, la vie est assez exécrable comme ça). Il me faut donc un directeur qui fasse son job. Qui m’envoies des pistes de réflexions, qui me donne des personnes à contacter pour mon enquête, qui réponde à mes mails, qui me propose des entrevues pour causer de mon projet, et qui soit intransigeant sur la rédaction de mon travail. C’est pourquoi M Chateaulez s’est avéré le seul à pouvoir tenir ce rôle.

    Aussi pour mettre toutes les chances de mon côté, je me lève très tôt en début de semaine (entre 4h30 et 5h30) et je fais mon job de sociologue (lecture, rédaction etc.)

    Pour le reste, je suis toujours avec plus ou moins de sérieux le régime Weight Watchers (je suis toujours juste au-dessus de 100 kilos). N’ayant pas cours au second semestre, j’ai pris aussi l’habitude depuis 1 moi et demi d’alterner chaque jour vélo et petite séance de musculation.

    Voilà pour l’essentiel. Je vous en dis plus bientôt.

    Je reviendrai notamment sur un projet de livre à écrire à quatre mains que je voudrais proposer à mon directeur de recherche.

    Ravi de vous avoir donné de mes nouvelles.


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  • Mercredi 29 :<o:p></o:p>

    Putain ce n’est pas la forme !<o:p></o:p>

    J’ai eu 13,12 de moyenne au premier semestre. C’est bien, sans plus. Sans vouloir entrer dans les détails, je pensais vraiment avoir pondu des trucs excellents à certains partiels. Donc au final je suis un peu désabusé. <o:p></o:p>

    Hier j’ai enfin obtenu par mail la liste des étudiants en master 2 de 2012 et de 2011. Je suis enfin bougé le cul, car en définitive cela aura été très rapide ; un mail à madame Servant, la responsable du master socio, une réponse positive de sa part, puis un mail à la secrétaire. Je suis vraiment mou du genou des fois. Alors au final, à l’aube du premier mars je démarre mon mémoire avec juste des listes de noms de prénoms et rien d’autre.<o:p></o:p>

    Cette semaine c’était les vacances universitaires. Je n’ai à ce jour pas branlé un iota. Lundi et mardi j’ai gardé Clara (et de toute façon avec mes trois nuits à l’hôtel les mercredi, jeudi et vendredi, je suis décalqué jusqu’au mardi). Aujourd’hui ma fille est chez sa nounou depuis 7h30 ce matin. Je n’ai rien branlé encore. Je suis dans une phase d’aboulie totale. Limite dépression.<o:p></o:p>

    D’ailleurs à ce sujet, ça fait bien trois mois que je n’ai rien pris. On n’est jamais sauvé. Mes démons ont repris depuis quelques temps les fondamentaux de mes humeurs. Je sens que j’ai ma garde qui baisse et que les pensées glauques profitent de la moindre occasion pour s’immiscer en moi. J’ai perdu de ma superbe ; je me dénigre à nouveau et sui emplis de nostalgie et de pensées malsaines. Je pleure plus souvent que d’habitude, j’ai le goût âpre de l’échec de ma vie partout dans le corps. Je commence à me haïr et à souhaiter tout mon soûl être un autre. Je suis très inquiet pour l’avenir de mes études et me dis de plus en plus souvent que tout ça ne sert strictement à rien (c’est une « phrase-signe » pour moi de mon état psychique). J’ai fait les tiroirs de notre pharmacie ce matin et ai retrouvé de <st1:personname productid="la Sertraline" w:st="on">la Sertraline</st1:personname> ; j’en ai avalé deux. J’ai appelé ma psy et suis tombé sur le répondeur qui m’a indiqué que le toubib serait joignable demain matin. Je n’éprouve aucun sentiment d’échec à devoir replonger dans les pilules, j’en viens, au vu de mes efforts et de ma bonne volonté, à penser que c’est tout autant nécessaire pour moi que peut l’être l’insuline pour un diabétique. Tant pis, j’aurais plus de mal à bander et à jouir, ma libido va en prendre un coup ; enfin faire l’amour blasé de la vie ce n’est pas mieux.<o:p></o:p>

    Le régime : toujours les mêmes conneries, je fais attention un certain temps puis me lâche totalement. Le vélo m’a quand même bien permis de ne pas trop reprendre pendant ces 15 jours de folie. Entre lundi et mardi par exemple j’ai mangé entre autre un pot moyen entier de pâte à tartiner au chocolat et deux tablettes de chocolat. Je me pèserai dans 15 jours (si je fais mes trois séance de vélo par semaine – c’est le cas – et si je surveille correctement mon poids – c’est le cas depuis ce matin).<o:p></o:p>

    Bref, ce n’est pas trop la joie. Mais je demeure confiant ; ah ah ah ah ! Je n’ai pas le choix. Si je commence à me dire que tout est cuit, que me reste-il alors ? La pure et simple folie ! Alors non, je n’ai vraiment pas les moyens de ne plus croire en moi et en mes études. <o:p></o:p>


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  •  

    Partiels terminés !<o:p></o:p>

    Je suis assez satisfait de moi, je pense avoir des notes correctes. J’ai terminé ce mardi par le partiel de M Viokkhon et la sociologie du droit. Le sujet portait sur la définition de plusieurs termes. Le tout ne devant pas dépasser 35 lignes.<o:p></o:p>

    Hier soir j’étais au taf. J’ai vu la tribu de connards capitalistes attablée. L’ancien boss, un de ses potes, les nouveaux patrons (lui a l’air a priori correct, sa femme est atteinte du syndrome « je parle fort car ce que je dis est intéressant » elle m’a l’air d’être une grosse conne comme ça au feeling). Il y avait aussi une responsable R.H très maniérée et fière d’elle aussi et l’english à la con, responsable régional je crois et qui te regarde à peine, jeune branleur ceinturé dans sa veste en tweed et son pantalon à pinces, un homme dont on sent à quel point il méprise la populace. J’ai dis trois mots, mon ancien boss a commencé à entretenir le nouveau sur mon projet, je l’ai coupé en disant que j’avais changé d’objet. Il a eu le temps de baragouiner FONGECIF (ce qui jusqu’alors n’avais rien a voir avec mon mémoire, lorsque celui-ci concernait cet hôtel, preuve qu’il n’écoute rien et qu’il n’est sensible qu’à ce que ce qui peut lui rapporter du fric dans sa main d’abruti). Abdel est venu (comme à chaque fois) dans la nuit. On a reparlé avec plus d’entrain de nos soirées célibataires qu’on voudrait mettre en place si possible cet hiver. J’aime beaucoup ce mec, je me sens tant d’affinités psychiques avec lui. Il est comme mon petit frère. On a des délires identiques. Faut nous voir faire les mongols ou danser comme des neuneus sur des airs qu’on chante n’importe comment. Il a cette  folie douce et ce recul par rapport aux choses que j’aime chez l’autre.<o:p></o:p>

    Lundi, le deuxième semestre commence. Moins de cours, mais un gros travail de mémoire à mettre en place. Je n’ai pas intérêt à traîner car si ça peut encore passer de travailler à la dernière minute pour un TD, c’est plus compliqué pour un document d’au moins quarante pages. Lundi je mets en branle aussi mon plan de travail afin d’améliorer mon anglais et augmenter mes lectures sociologiques. Avant de trop en dire, je vais déjà me bouger les fesses et voir si mon programme est viable, j’en dirai plus ultérieurement.<o:p></o:p>

    Sinon enfin, mercredi qui vient je donne mon premier cours à domicile. Une initiation a l’informatique pour une retraitée à Dôle. C’est assez loin mais c’est un moyen de commencer et c’est pas mal payé (16.5€ de l’heure en session de deux heures à chaque fois et pour cinq déplacements). J’aurais au moins  quelque chose à mettre dans la case « expérience de formation » bientôt.<o:p></o:p>


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  • Du 1er au 30 :<o:p></o:p>

    Ce que j’en retiens.<o:p></o:p>

    C’est un « RAS ter » en substance. Pas de souvenir marquant ou précis. Je me rappelle surtout avoir commencé à parler un peu à mon travail de mon mémoire, et m’être mis peu à peu à faire l’employé qui s’intéresse au boss pour le faire parler un peu. Qu’est-ce que j’aime pas ce mec ! Une telle bêtise ! Une telle arrogance !<o:p></o:p>

    Je me souviens aussi avoir travaillé dans l’urgence nombre de TD et de partiels. Travaillant la veille ou le jour même pour la matière concernée. J’ai eu 18 sur 20 avec M Pachian sur mon TD concernant les Pick Up Artists. A ma décharge, ce prof note large ; à ma charge j’avais quand même beaucoup bûché mon sujet et pondu un truc bien construit. Comme le même jour (le 8) on avait à lui rendre notre partiel sous forme de dissertation et que je n’avais encore rien pondu le matin même après mon TD ; j’ai du zappé le dernier cours de 11h et me ruer chez ma mère pour rédiger mon devoir et le poster dans le casier du prof avant 17h. J’étais parti sur un de ses livres, L’archéologie du pacte social. Moyennement inspiré, j’ai écrit un bidule improbable, cohérent sur le plan des idées (c’est peut-être ce qui me sauvera) mais minimaliste au possible avec une intro interminable. En tout mon travail faisait deux pages et demi (dont une page d’intro).<o:p></o:p>

    Pendant les vacances scolaires, j’ai galéré aussi pour rédiger le TD de M Brandeur sur le militantisme aujourd’hui. J’avais réalisé deux entretiens des membres du groupe Proudhon de Besançon (affilié à la fédération anarchiste). Ce fût un travail relativement long et fastidieux mais très riche sur le plan des idées. Mais au final j’arrivai au dernier week-end des vacances de Noël sans avoir entamé mes révisions pour les partiels.<o:p></o:p>

    Par ailleurs, Clara fût beaucoup gâtée à son anniversaire (le 12) et à Noël. Le travail à l’hôtel fût relativement calme. A l’occasion d’une nuit torride qu’on s’est fait dans un hôtel trois étoiles avec Léa un soir, j’ai échangé avec le réceptionniste du lieu. Son travail comparé au mien, a fini d’achever toute envie de demeurer où je suis. Il est mieux payé avec des vraies primes et un travail au bas mot trois fois moins harassant que le mien (pas de séminaire, pas de ménage, pas les buffets du midi à préparer). Je suis chaque jour un peu plus dégoûté d’aller bosser si dur pour toucher si peu. C’est mon point faible.<o:p></o:p>

    Sinon je me souviens encore au sortir de mon TD d’avec M Pachian, avoir bien discuté avec une jolie étudiante, très grande (au moins 1m75). On s’est découvert une passion commune pour la photo. Après échange de mails, je l’ai contacté une fois en vacances pour évoquer la photo. On va peut-être essayer de monter des projets en commun et se voir pour échanger sur nos productions respectives.<o:p></o:p>

    En dernier lieu : j’ai changé d’objet de mémoire. Cela ne sera plus dans le cadre de mon travail à l’occasion du changement de direction. Trop de cons, trop peu motivé de faire les yeux doux à mon boss sur le départ, pour qu’il me lâche des infos, pas envie d’avoir à faire de même avec le nouveau. Je vais faire un travail sur les étudiants de sociologie qui après un master 2 ne sont pas allé en thèse, histoire d’avoir une photo précise du cursus et répondre à la question : « qu’est-ce qu’on fait avec un master 2 de socio en poche ? » Cela constituera du matériau pour alimenter mon dossier FONGECIF que je compte toujours mener à terme 


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  • Du 1er au 30 :<o:p></o:p>

    R.A.S ! Bis<o:p></o:p>

    Idem que le mois d’avant. Nous sommes en réalité la mi janvier et comme je n’ai pas noté quelque part ce qui s’est passé en ce mois de novembre et comme il ne s’est sans doute pas passé grand-chose non plus, j’en suis réduit à broder quelques lignes pour respecter ma volonté de tenir au moins un article par mois.<o:p></o:p>

    Et si je me concentre une minutes pour faire rejaillir des choses notables, je ne peux que souligner l’aspect, après-coup un peu morose de ce mois : même taf, même souci de fric, même vie, même corps, même gueule, même pas triste. Fatigué sans doute. 


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