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    Vendredi 11 :

     <o:p></o:p>

    Procrastinateur de génie.<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     

    Je suis mon pire ennemi. Est-ce qu’un jour je parviendrai à l’équilibre ? Est-ce qu’un jour bordel je serai enfin serein ?? <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    J’ai commencé par confier à Léa un câble de ma console afin de ne plus pouvoir jouer en réseau. Cela fait 15 jours à présent que je n’y ai pas touché. C’est plutôt pas mal ! Mais alors pourquoi le temps libre ainsi dégagé me fait-il revenir à mes premières craintes : la télévision ?<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Je n’ai rien gagné en productivité. Rien. Je glande comme un roi ou comme un clodo. Je tourne en rond dans ma tête en planifiant sans cesse mes révisions à mesure que le temps se réduit. Je planifie, je suis le roi, mais ne commence rien. Rien !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Petit calcul. Petite planification, encore une, au moment ou j’écris ces lignes : nous sommes le 11 avril. Il me reste dans l’absolu jusqu’au premiers partiels le 5 mai et sans compter cette journée aux trois quarts foutue, 23 jours.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    J’enlève à présent mes jours travaillés à l’hôtel, enfin mes nuits. Enfin c’est pareil puisqu’il faudra que je dorme le jour : 23 – 8 soit 15 jours.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il me reste 15 jours. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Tout est encore possible. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Si je continue à me lever à 9h au lieu de 7h, à prendre le petit déjeuner jusqu’à 10 h 30 et suivre mes derniers enregistrements de la veille jusqu’à ce que Léa rentre pour déjeuner, je vais droit dans le mur. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Si après manger je continue de suivre le zapping à la télé, puis le journal du web sur Game One, puis à lire mes mails sur l’ordi, à retourner sur Tv perso (canal 99) de <st1:personname productid="la Freebox" w:st="on">la Freebox</st1:personname> afin de regarder les dernières vidéos des freenautes, alors je vais sans coup férir me ramasser sévère dans trois semaines. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Si je continue le soir à mater le film ou l’émission de première partie de soirée avec Léa. Si je persiste ainsi jusqu’à 23 heures et ensuite me couche avec ma femme dans l’idée d’attendre qu’elle s’endorme pour ensuite me lever mais qu’au final je m’endors avec elle et me réveille le lendemain matin aux alentours de 9 h, alors là oui, autant arrêter immédiatement toute tentative de changement.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ami lecteur, ami rare (les statistiques du blog me le prouve) je t’appelle à l’aide. Mon problème est psychologique, je le sais ! Mais comment le résoudre concrètement.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    J’ai tenté la psychothérapie il y a très longtemps, 250 francs (à l’époque) par séance, je n’en ai pas les moyens aujourd’hui.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    J’ai raconté ma vie à un psychiatre plus récemment. A part pleurer sur certains aspect glauques de ma vie je n’ai rien obtenu en terme de changement. Enfin dans mon esprit, car on pourrait penser que la reprise d’études est un signe de sa portée.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Qu’ai-je donc à perdre ? Qu’ai-je donc à craindre ? Ne suis-je que la cristallisation  des craintes et des faiblesses de mes putains de parents ? Quelle est ma part de libre-arbitre ?<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    J’ai les moyens de réussir ! Je sais qu’il n’y a pas de réussite sans travail ! Si je valide ma première année, je sais que l’année prochaine sera plus ardue et me devrai d’être plus régulier ! <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Je sais tout ça ! Qu’est-ce qui me fige ? Qu’est-ce qui me sclérose, me glace, me cloue, m’immobilise, me fixe et me tétanise ??<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Être une grosse merde de prolo depuis toutes ces années m’évite bien des questions ! Mais ce n’est pas une vie que de n’être pas bien là ou on est.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il va bientôt être 16 heures. Demain j’ai rendez-vous avec une jolie étudiante pour récupérer la majorité des cours. Je l’ai accosté vendredi dernier au sortir d’un cours appelé « mondialisation ». J’avais appris la veille en me rendant chez la secrétaire de la vie scolaire qu’il fallait choisir deux matières de culture générale pour le second semestre. J’ai coché au pif « mondialisation » et « histoire des idées politiques contemporaines ». J’ai choisi ma langue par la même occasion : initiation à l’italien, j’ai quelques bases, je m’en sortirai peut-être dans trois semaines.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ce soir, vers 19h on soupe chez ma mère avec ma sœur et son ami. Il me reste trois heures à mettre à profit.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Est-ce que ça vaut le coup que je m’y mette ??<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Sale con !

     

    Jeudi 24.

    <o:p> </o:p>

    Je repousse les limites.<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     

    Je n’ai toujours rien révisé, ou si peu. J’en suis à planifier des révisions entre les différentes dates d’examen. Ce matin j’ai perdu du temps sur Internet. Puis j’ai eu une amie au téléphone. Il va être 11h30, je vais devoir préparer le dîner. Encore une matinée de grillée. A quoi je joue ? Je n’en sais rien. Je pense encore qu’il n’est pas trop tard.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    J’ai 7 matières à passer. La mission paraît perdue d’avance. Je ne suis prêt sur aucune d’elle. Avant les premiers examens il me reste un peu plus d’une semaine. J’ai commencé à lire un livre sur le bouddhisme. Cela fait longtemps que cette religion-philosophie m’intéresse. Il faut que je me trouve un moyen d’être plus droit dans mes baskets.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    J’ai l’impression d’avancer avec des boulets aux deux pieds. Je suis à peine plongé dans une matière qu’une sensation de totale inutilité de mon action m’envahit. Que puis-je faire alors? Et cette télévision qui me montre ses atouts, même éteinte. Un jour je la jetterai par la fenêtre!!

    <o:p> </o:p>

    Léa est enceinte. On n’a arrêté les rapports protégés depuis quelques semaines. Elle a appris la nouvelle en faisant un test de grossesse alors qu’elle était chez sa sœur. Sa mère était présente, elles ont toutes trois pleurés. A présent la belledoche me considère autrement puisque je lui donne enfin un petit-fils. Avant nous n'étions pas vraiment un couple puisque nous n'avions pas de projet d'enfant. Elle n'a pas fini de me bassiner sur les joies d'être papa.

     

    Léa se pose mille questions mais malgré tout je sens qu'elle n'a jamais été aussi heureuse. Elle passe du cap de fille à sa mère à celui de mère. C'est dans l'ordre des choses.

     

    <o:p>De mon côté, c'est étrange, ça me fait ni chaud ni froid. Je sais que c'est un beau cadeau mais que c'est aussi la perte de beaucoup de choses. Et qu'on ne me dise pas que c'est parce que je ne réalise pas bien. Les gosses, je connais.</o:p>

    <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    J’ai encore un peu de temps pour regarder un épisode de South Park sur Daily Motion.<script type="text/javascript"> var gaJsHost = (( "https:" == document.location.protocol)? "https: / / ssl.": "http://www."); document.write (unescape ( "% 3Cscript src = '" + gaJsHost + "google-analytics.com/ga.js' type = 'text / javascript'% 3E% 3C/script% 3E")); </ script> <script type="text/javascript"> try ( var pageTracker = _gat._getTracker ( "UA-15005578-1"); pageTracker._trackPageview (); ) Catch (err) () </ script>


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    Samedi 15 :

     

    Qu’est-ce que j’attends pour réagir.<o:p></o:p>

      <o:p></o:p>

    Cet article du mois de mars a été rédigé le même jour que celui d’avril. C’est dire mon assiduité tant sur mon blog qu’en cours. Mais je voulais au minimum un petit mot pour chaque mois.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Sinon rien de spécial. Chaque semaine je me suis dis que j’allais commencer à réviser. Chaque fin de semaine j'ai constaté le retour de cette terrible inclination à procrastiner. Et la semaine suivante c’était de nouveau parti pour plein de promesses de travail qui à ce jour n’ont pas débouché sur le moindre retroussage de manches.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Qu’est-ce que j’ai bon sang ?<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Je n’ai pas non plus daigné trouver un autre emploi pour compléter mon CDI et espérer obtenir une paie normale (le 1000 euros tant convoité). J’ai juste glandé comme la dernière des merdes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Je ne suis pas au bout de mes peines.

     

    <o:p></o:p><script type="text/javascript"> var gaJsHost = (( "https:" == document.location.protocol)? "https: / / ssl.": "http://www."); document.write (unescape ( "% 3Cscript src = '" + gaJsHost + "google-analytics.com/ga.js' type = 'text / javascript'% 3E% 3C/script% 3E")); </ script> <script type="text/javascript"> try ( var pageTracker = _gat._getTracker ( "UA-15005578-1"); pageTracker._trackPageview (); ) Catch (err) () </ script>


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    Remarque : la photo est affichée en plus grand format dans la rubrique "photos"!

     

    Samedi 16 :

                 <o:p></o:p>

    YEEESSSSSSSSSS!!!!!!

     

     

    Les notes parlent d'elles même. Quand j'ai ouvert mon courrier samedi dernier j'ai tout simplement halluciné. Je venais de desendre de chez moi pour raccompagner un ami en voiture et par réflexe j'ai ouvert la boîte aux lettres. Je ne pensais même plus à mes partiels que j'avais à coup sur raté. Je suis remonté en furie montre le divin papier à Léa. Elle à mis quelques secondes à réaliser puis ses yeux se sont ecarquillés de joie. Nous trépignions tous les deux d'excitation à la lecture de mes notes. J'avais les yeux emplis de larmes d'émotion. Je susi redescendu trente secondes plus tard retrouver mon pote. C'était très dur de me contenir. Par chance il n'était pas d'humeur à s'intéresser à autrui, il avait été victime la veille d'un contrôle positif à l'alcootest et était trop préoccupé pour apercevoir le changement d'humeur qui venait de s'emparer de moi.

     

    Alors voilà à ce jour le premier semestre est quasiment complet. Quasiment car je vois qu'en langue et en informatique ils ont mentionné sur le relevé "absence injustifié" et "défaillant". J'en déduis qu'au contraire de ce que m'avais laissé entendre M Martin, le responsable de la vie scolaire, je suis visiblement dans l'obligation de passer ces deux matières. Cela ne devrait pas poser trop de problèmes. Pour la langue j'ai l'espoir de prendre initiation anglais, ma première langue à l'école, et pour l'informatique il s'agit là aussi d'initiation.

     

    Sinon ce relevé m'a reboosté pour le deuxième semestre car le mois de janvier à vu ma motivation s'émousser peu à peu au point que juste avant de voir mes résultats je commençais à me convaincre mentalement que la fac de socio n'était peut être pas un si bon choix.

     

    Je ne suis pas très à jour dans les cours, mais j'ai pris les devants en alpaguant à la fin des cours déjà deux professeurs qui m'ont donné leur adresse mail. L'un d'eux m'a rappelé la liste des livres qu'il serait bon d'avoir lu pour les partiels en me précisant qu'avec le livre de Pierre Bourdieu ainsi que celui de Max Weber "l'éthique protestante et l'esprit du capitalisme" ainsi que tel autre, je serais  "blindé" (selon son expression) pour l'examen. Je compte appliquer la même politique pour les autres matières. Le plus important c'est de lire les livres conseillés dans chaque matière car les cours ne sont en fait qu'un remâchage plus ou moins réussi de leurs précieuses listes.

     

    Je n'abandonne pas pour autant le projet de me lier avec une autre étudiante afin d'obtenir les cours, ça me donnera toujours une ligne directrice pour mes révisions et m'évitera de travailler des sujets en trop ou d'en zapper.

     

    Les TD, je n'y suis allé que quelques rares fois. Soit c'est trop tôt (8h, je n'ai plus l'habitude de me lever si tôt, avec mon taf je suis décalé et me lève en principe avec beaucoup de mal vers 9 h), soit je me stresse tout seul à m'imaginer tomber sur un chargé de TD qui va m'emmerder pendant son cours à participer et à parler en public, comme ils font souvent à l'égard des jeunes étudiants lambda. C'est bien d'y aller. Ma résolution est de tâcher de suivre les cours (TD compris) plus régulièrement.

     

    Dernière info, j'ai fini par tomber nez à nez avec la belle Caroline, la fille que j'avais reconnu lors d'un de mes partiels de janvier. Je sortais de TD justement, elle filait en cours, visiblement en retard. Cela s'est passé mis janvier lors de la deuxième semaine du second semestre.On s'est fait la bise. Elle m'a demandé ce que je foutais là, elle était souriante et pétillante. Je l'ai mise dans la confidence en lui demandant de garder cela pour elle. Elle m'a dis "sans souci "en me quittant déjà. Je lui ai demandé en quoi elle était. Elle m'a répondu en "géographie" en me faisant un signe de la main juste avant de passer la porte de l'amphi. Cela me fit du bien de rencontrer une personne pour qui je n'étais pas un drôle d'inconnu dans cette vaste étendue.

     

    A ce jour, il n'y a visibement pas eu de fuite. Le secret est toujours bien gardé! Jusqu'à quand??? <script type="text/javascript"> var gaJsHost = (( "https:" == document.location.protocol)? "https: / / ssl.": "http://www."); document.write (unescape ( "% 3Cscript src = '" + gaJsHost + "google-analytics.com/ga.js' type = 'text / javascript'% 3E% 3C/script% 3E")); </ script> <script type="text/javascript"> try ( var pageTracker = _gat._getTracker ( "UA-15005578-1"); pageTracker._trackPageview (); ) Catch (err) () </ script>


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    Mercredi 9 :<o:p></o:p>

     

     

    Partiels ! 3 plantages. Un espoir.

     

    Au moins ces examens m’auront permis de réaliser que la première année est accessible à tous avec un minimum de travail. Les sujets étaient assez scolaires. Avec un peu de culture et une connaissance du cours il est permis de réussir.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Je ne connaissais pas suffisamment les matières et au final sur les quatre disciplines peut-être la moyenne à une sera permise.

    <o:p> </o:p>

    Lundi après-midi : champs de la sociologie. Je n’avais pas eu le temps d’ouvrir mon cours. Sujet sur les inégalités sociales à l’école. J’ai paraphrasé pendant deux heures. Je n’ai même pas eu le courage de me relire. De toute façon mes idées étaient trop peu argumentées pour espérer une note sérieuse. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Note possible : entre 3 et 6. Les paris sont ouverts.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Mardi après-midi : textes fondamentaux. La seule prof à m’avoir téléphoné suite à mes lettres déposées dans leurs boîtes pour bénéficier au moins du plan du cours. Elle m’avait conseillé un livre avec certaines sections à lire ; Comte, Durkheim et Tönnies. J’ai eu le temps de tout lire sinon consciencieusement du moins correctement. Mais comme les parties consacrées à Emile Durkheim et à Auguste Comte étaient beaucoup plus importantes que celle consacrée à Ferdinand Tönnies, j’ai consacré mes révisions de la dernière heure à celui-ci, persuadé qu’il y aurait plusieurs sujets. Le sujet était « exposez l’influence de Durkheim sur la construction de la sociologie française ». Je me suis appliqué à rassembler mes souvenirs. Et Durkheim je connaissais toujours plus que Comte, j’avais lu la moitié des « règles de la méthode sociologique », j’avais déjà lu des écrits à son sujet. Je pense avoir rendu un travail honorable.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Note possible : entre 7 et au dessus de la moyenne. Les paris sont ouverts.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ce matin 8 heures : pratique d’enquête, méthodes quantitatives. Là ça coince. Pourtant à la lecture des questions le sujet était largement surmontable. 6 questions qui me rappelaient quelque chose du livre que le chargé de TD M Caignon m’avait conseillé. 6 questions visiblement claires et sans réels piège. Je n’avais lu que la moitié du petit livre de 120 pages et de plus j’étais parti sur l’idée d’un exercice avec des tableaux et des données statistiques, alors je m’étais senti battu d’avance. De toute façon il y avait le grand II de l’examen, donnez de mémoire un titre de livre de sociologie construit sur l’enquête par questionnaire et le résumer. C’est sans regrets que je suis sorti de la salle ou j’avais reconnu une connaissance au frère d’un pote. J’étais assis derrière elle à quelques tables. Je l’ai guetté souvent, même au moment de quitter la salle. Il ne m’a pas paru qu’elle aie jeté une seule fois un œil sur moi. Il était 9h, j’avais une heure et demie à attendre.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Note possible : entre 2 et 6. Les paris sont ouverts.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    10h30. Dernière épreuve : initiation à la socio-anthropologie. Deux sujets pour les deux profs du premier semestre. J’ai même eu un doute sur le prof dont j’étais sensé avoir suivi les cours pendant le premier semestre. Dans le doute, et vu que mes connaissances infimes ne me permettaient pas de pencher pour un sujet, j’ai opté pour celui qui me paraissait le moins rébarbatif. Deux questions, l’une sur la « nature » humaine. J’ai sorti la société, la culture, le langage et les hommes sauvages (homines feri). J’ai conclu à la nécessaire nature sociale de l’homme. Wait and see. La deuxième question était plus chiante, sur le suicide, il fallait donner des exemples. J’ai parlé, enfin j’ai tenté de ressortir quelques souvenirs fragmentaires sur l’étude sociologique de Durkheim (encore lui) sur le suicide. J’ai défini le « phénomène social » un peu approximativement. J’ai conclu en donnant des exemples tirés par les cheveux et sans aucune base argumentée ni référence au cours.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Note possible : entre 2 et 6. Les paris sont ouverts.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’emploi du temps était affiché dans le long couloir en face du bureau d’information. Ils étaient tous là à noter sur de feuilles ou des bouts de papier, assis, accroupis. Pas un qui n’avait l’idée de prendre un cliché avec un portable. Cela m’ennuyait d’avoir à faire comme eux. J’ai lu l’intitulé des cours et les horaires, et j’ai décidé de revenir demain matin très tôt avec mon appareil photo numérique.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Dehors j’étais joyeux et plein d’appétit. Je contemplais, un peu frustré, les visages des jeunes filles ou les postérieurs sautillants qu’elles offraient au monde. Il bruinait. J’étais bien. L’univers d’un possible épanouissement me paraissait encore tangible.<o:p></o:p><script type="text/javascript"> var gaJsHost = (( "https:" == document.location.protocol)? "https: / / ssl.": "http://www."); document.write (unescape ( "% 3Cscript src = '" + gaJsHost + "google-analytics.com/ga.js' type = 'text / javascript'% 3E% 3C/script% 3E")); </ script> <script type="text/javascript"> try ( var pageTracker = _gat._getTracker ( "UA-15005578-1"); pageTracker._trackPageview (); ) Catch (err) () </ script>


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