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12-DECEMBRE
Du 1er au 30 :<o:p></o:p>
Ce que j’en retiens.<o:p></o:p>
C’est un « RAS ter » en substance. Pas de souvenir marquant ou précis. Je me rappelle surtout avoir commencé à parler un peu à mon travail de mon mémoire, et m’être mis peu à peu à faire l’employé qui s’intéresse au boss pour le faire parler un peu. Qu’est-ce que j’aime pas ce mec ! Une telle bêtise ! Une telle arrogance !<o:p></o:p>
Je me souviens aussi avoir travaillé dans l’urgence nombre de TD et de partiels. Travaillant la veille ou le jour même pour la matière concernée. J’ai eu 18 sur 20 avec M Pachian sur mon TD concernant les Pick Up Artists. A ma décharge, ce prof note large ; à ma charge j’avais quand même beaucoup bûché mon sujet et pondu un truc bien construit. Comme le même jour (le 8) on avait à lui rendre notre partiel sous forme de dissertation et que je n’avais encore rien pondu le matin même après mon TD ; j’ai du zappé le dernier cours de 11h et me ruer chez ma mère pour rédiger mon devoir et le poster dans le casier du prof avant 17h. J’étais parti sur un de ses livres, L’archéologie du pacte social. Moyennement inspiré, j’ai écrit un bidule improbable, cohérent sur le plan des idées (c’est peut-être ce qui me sauvera) mais minimaliste au possible avec une intro interminable. En tout mon travail faisait deux pages et demi (dont une page d’intro).<o:p></o:p>
Pendant les vacances scolaires, j’ai galéré aussi pour rédiger le TD de M Brandeur sur le militantisme aujourd’hui. J’avais réalisé deux entretiens des membres du groupe Proudhon de Besançon (affilié à la fédération anarchiste). Ce fût un travail relativement long et fastidieux mais très riche sur le plan des idées. Mais au final j’arrivai au dernier week-end des vacances de Noël sans avoir entamé mes révisions pour les partiels.<o:p></o:p>
Par ailleurs, Clara fût beaucoup gâtée à son anniversaire (le 12) et à Noël. Le travail à l’hôtel fût relativement calme. A l’occasion d’une nuit torride qu’on s’est fait dans un hôtel trois étoiles avec Léa un soir, j’ai échangé avec le réceptionniste du lieu. Son travail comparé au mien, a fini d’achever toute envie de demeurer où je suis. Il est mieux payé avec des vraies primes et un travail au bas mot trois fois moins harassant que le mien (pas de séminaire, pas de ménage, pas les buffets du midi à préparer). Je suis chaque jour un peu plus dégoûté d’aller bosser si dur pour toucher si peu. C’est mon point faible.<o:p></o:p>
Sinon je me souviens encore au sortir de mon TD d’avec M Pachian, avoir bien discuté avec une jolie étudiante, très grande (au moins 1m75). On s’est découvert une passion commune pour la photo. Après échange de mails, je l’ai contacté une fois en vacances pour évoquer la photo. On va peut-être essayer de monter des projets en commun et se voir pour échanger sur nos productions respectives.<o:p></o:p>
En dernier lieu : j’ai changé d’objet de mémoire. Cela ne sera plus dans le cadre de mon travail à l’occasion du changement de direction. Trop de cons, trop peu motivé de faire les yeux doux à mon boss sur le départ, pour qu’il me lâche des infos, pas envie d’avoir à faire de même avec le nouveau. Je vais faire un travail sur les étudiants de sociologie qui après un master 2 ne sont pas allé en thèse, histoire d’avoir une photo précise du cursus et répondre à la question : « qu’est-ce qu’on fait avec un master 2 de socio en poche ? » Cela constituera du matériau pour alimenter mon dossier FONGECIF que je compte toujours mener à terme
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