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    Du 1er au 31 :

    Page 155 du premier livre de mon programme!!!

    J'éviterai de penser que c'est consternant. Je demeure positif en me raccrochant à la fulgurance que j'ai eu dans la nuit du 30 (celle où l'on recule les montres d'une heure). Nous étions en week-end chez les parents à Léa. Clara fit un bond dans la nuit, cherchant tétine et nainnain. Après avoir réussi à la calmer et à la faire rester dans son lit une fois ses idoles retrouvées, force fût de constater qu'il m'était impossible de retrouver le sommeil tout autant à cause du décalage induit par mon travail de nuit qu'aux vrombissements puissants et incessants de Léa lorsqu'elle dort. Ainsi je me levai. Une fois dans la cuisine, j'ouvris l'ordinateur et mon livre, puis, après le rituel surf sur mes sites humoristiques fétiches (vdm; dtc; jesuismechant; pebkac; abrutis et envoie-du-gros.com )j'entamai ma lecture de 3 heures à 8 heures environ (soit 3h30 de lecture effective-merci le chronomètre d'internet- et 1h30 d'annotations diverses, de digressions, de deux cocas et d'un yaourt au chocolat). Cet épisode fut revigorant malgré la faiblesse de ma vitesse de lecture (une moyenne de 11 pages par heures). Mais je me rassure en estimant qu'une lecture attentive, avec prise de notes, relecture et imprégnation des pensées et explications de l'auteur ne peut guère être plus efficace. Néanmoins, une amélioration de cette vitesse pourra s'observer à l'occasion d'autres lectures moins riches, plus « légères » et lorsque j'aurai enfin lancé mon apprentissage personnel de lecture rapide (tentative avortée il y a quelques années).

    Alors voilà, je me retrouve au final à n'avoir quasiment rien entamé, soyons franc; mais toujours avec la perspective d'arriver à mes fins avant la reprise (je l'espère) de mon mastère l'année prochaine. De plus, je n'arrive pas à me résoudre à laisser de nouveau en jachère ma console. J'ai même cédé à un abonnement de trois mois sur le live (pour jouer pleinement à Halo Reach) et j'ai aussi racheté une manette sans fil suite à la rencontre violente et malencontreuse de la dernière avec le sol à plusieurs reprises en l'espace d'une minute.

    Aujourd'hui (moment ou cet article est écrit, soit le mercredi 3 novembre) je suis chez moi avec Léa qui est malade, Clara (que du coup je garde). Je ne suis pas allé travaillé hier soir, je prends la nuit de l'autre veilleur jeudi soir. Léa dors encore, je n'ai encore pas lu ce-jour, mon régime stagne, bref, le mois d'octobre est placé sous le signe de la déliquescence (et novembre commence de même)

    Mais je reste confiant car je n'ai pas le choix.


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