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    Vendredi 6 :

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    Plantage réalisé. Pas le moral. Je me sens seul et désemparé.

     

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    Je n’ai pas révisé cette semaine. Je n’étais pas motivé lundi. Et mardi, recevant mes tristes résultats, je ne fus que plus démotivé encore. En comptant les deux matières de janvier (informatique et italien), j’ai huit matières au total à repasser. Plus clairement je n’ai eu la moyenne qu’à une seule matière pour les partiels du second semestre. Je n’avais pas bossé, j’en conviens. Mais je ne pensais pas que mes notes seraient si merdiques (je ne trouve pas d’autres mots).<o:p></o:p>

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    La seule matière ou je suis tombé juste c’est « Initiation aux langages spécialisés », et effectivement j’ai eu 14 sur 20.<o:p></o:p>

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    Pour le reste, un vieux 8 en italien. Ainsi qu’en « enquête modèles en sociologie ». Un vieux 7 en « concepts fondamentaux de la socio anthropologie ».  Un 4 en « mondialisation ». Et j’ai même été déclaré « défaillant » (c'est-à-dire absent) à une matière où je fus présent et où je rendis, certes, copie blanche.<o:p></o:p>

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    Pour les rattrapages, la logique universitaire a réussi à me coller deux matières la même heure et le même jour (par chance dans la même salle !!!). J’ai quatre matières le lundi 23 juin, dont une à huit heures (et je serai sensé être encore au boulot jusqu’à neuf heures). Bref, ça va être encore rock’n’roll.<o:p></o:p>

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    Cela fait un mois d’ailleurs au taf qu’on tourne à 2 veilleurs, le troisième a démissionné. A moi les week-ends fastidieux, du vendredi soir au lundi matin. Quelle période faste pour les compétitions sportives en tout genre, vive les joies des groupes de 100 personnes le matin. Et s’ils étaient sympas ces cons là. Les sportifs, quelle plaie. Imbus d’eux-mêmes, arrogants, prétentieux, malpolis, méprisants. C’est vraiment des cons.<o:p></o:p>

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    En ce moment, j’ai vu sur le planning qu’il y a un troisième veilleur en formation. Peut être que d’ici mes rattrapages je serai revenu à mon contrat initial.<o:p></o:p>

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    On ne se défait jamais de ses vieux démons. C’est ce qui m’a toujours tout (ou presque) fait rater. Dés que je sens qu’un combat tourne mal, je baisse la garde. Préférant précipiter l’échec plutôt que de me défendre bec et ongle sans garantie de succès. Si vous saviez ce que ça m’énerve cette inclination. <o:p></o:p>

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    Avec mes résultats catastrophiques des partiels de mai, je me vois déjà redoubler et me retaper bien maladroitement une deuxième première année. J’en suis encore à me faire des programmes. J’ai pourtant pas mal révisé depuis 15 jours. J’ai bien avancé dans une des matières ou j’ai rendu copie blanche. Mais je ne suis quand même efficace qu’à hauteur de 10 à 30% du temps que je me suis imparti.<o:p></o:p>

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    Je me sens perdant, mais j’ai quand même la niaque (pondérée) pour tâcher de réviser jusqu’au bout. Néanmoins, je ne peux empêcher mon esprit de déjà planifier mes lectures de cet été pour repartir en première année, plus cultivé sociologiquement que jamais.<o:p></o:p>

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    Pour l’instant je révise la journée (avec le risque de musarder que cela implique). J’ai conscience que je serais plus efficient la nuit. C’est d’ailleurs de la sorte que j’avais révisé pour janvier. Mais j’hésite, j’hésite ! Car le soir, c’est un réel plaisir et une rare joie que de m’endormir aux côtés de Léa, et c’est un véritable crève-cœur que de m’arracher du lit et de m’asseoir devant ce morne et austère bureau. Mais je pense que je vais m’y résoudre malgré tout au moins pour mes révisions. J’en parlerai à Léa lorsqu’elle rentrera lundi.<o:p></o:p>

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    Elle est partie ce matin avec sa mère. Elle est de communion ce dimanche, moi à cause du taf je ne pouvais m’y rendre. J’ai éprouvé une lourde mélancolie une fois seul. Je n’avais aucun ami à aller voir. Pas un seul ami. J’ai rendu visite à ma mère. Nous n’avions pas grand-chose à nous dire. Elle me parlait du vide grenier qu’elle préparait pour dimanche. J’écoutais sans réelle attention, broyé par l’indicible vacuité qui se dégageait de nous deux. Je ne suis resté qu'une demi-heure. Avant de partir, ma mère me montra ses fleurs qui avaient bien poussés. Puis me motiva à nouveau pour venir déjeuner dimanche à son vide grenier. Je dis que je verrais mais en mon âme je savais que je n’irais pas. Je me sentais gros et laid et inutile et stupide et malheureux. Comme toujours ma mère me fit signe par la fenêtre, je fis un geste de la main puis montai dans ma voiture en essuyant mes yeux.<o:p></o:p>

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    Je suis seul jusqu’à lundi. Mon seul pote d’enfance, William, revenu de Paris depuis presque un an a prévu qu’on se voit ce soir. Je n’en ai pas envie. Les amitiés d’enfance, j’ai l’impression, se pérennisent que sur la base d’un même statut social. Il est commissaire aux comptes (titre redondant pour désigner un comptable qui fait de l’audit dans les entreprises), il gagne au moins 1500 € par mois (il reste discret à ce sujet), il vit chez ses parents, et il se plaint qu’il n’a pas de fric. J’ignore si mon objectivité pourrait être faussée par une espèce de jalousie cachée de ma part (pourtant je ne l’envie pas), mais il me semble qu’il devient progressivement prétentieux avec les années. Il me parle de son travail. Moi je n’ai rien à dire sur le mien et ne veut pas lui parler de mon projet universitaire. Je passe donc à ses yeux pour un glandeur sans réel projet. Il a d’ailleurs posé la question à Léa un soir après que je sois parti au travail. Il lui a demandé si je ne m’ennuyais pas trop la journée à ne faire que de l’ordi et de la console. Il sort un peu sa culture politique (il lit le « Canard Enchaîné »). On n’a pas grand-chose à se dire au fond. Je comprends le mutisme des moines, la parole est souvent vaine. Et moi je me sens bête à côté de lui. Je ne sais pas s’il est très intelligent ou si par mimétisme d’appartenance à une classe sociale il se donne malgré lui un air très intelligent en étant sempiternellement critique et caustique. Il m’apprécie, je le sais. Le problème doit venir de moi. Je me sens tellement inexistant sur un plan humain. Je me vois trop souvent comme un con de prolo avec rien dans le crâne et rien dans les tripes. Forcément ce n’est pas l’idéal pour les rapports sociaux épanouissants.<o:p></o:p>

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    Cette réflexion sur mon statut m’en amène une autre à l’esprit. Je reprends des études universitaires pour exister psychiquement, et donc au final, pour exister physiquement. Car depuis très longtemps je ne suis qu’un mort-vivant.<o:p></o:p>

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    J’avais encore plein d’autres choses à dire, la grossesse de Léa, l’appart qu’on a enfin trouvé en dehors de la ville. Je n’ai pas le cœur aujourd’hui à écrire davantage.<o:p></o:p>

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    Si demain la chance me proposait un job qui à coup sur me plairait mais m’obligerait à changer de pays, voir de continent. Je partirais en laissant tout derrière moi.<o:p></o:p>

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    Voilà mon humeur du moment.

    Mardi 24 :

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    Béatitudes. Premier semestre acquis, première année peut-être aussi !! Et corps d’athlète en prévision estivale. <o:p></o:p>

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     Il est des miracles qu’on ne s’explique pas. Etant athée par réflexion, le miracle concerne à mon sens d’autres sphères du monde mais certainement pas ce qui se passe dans ma vie. Appelons ça la convergence de plusieurs facteurs : une certaine chance, une reconsidération de mes résultats et un travail, aussi modeste soit-il, néanmoins fourni, et aussi en dernier lieu une certaine culture et un relatif recul (avantage de l’âge et de l’expérience) qui m’auront permis de contourner certains obstacles. Concrètement, revenons rapidement sur les matières à repasser.<o:p></o:p>

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    Italien : je me suis résolu à acheter une grammaire. J’ai potassé la veille pour le lendemain. 2 QCM pour les deux semestres, l’un un peu plus dur que l’autre, mais je pense avoir la moyenne aux deux.<o:p></o:p>

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    Théories sociologiques : j’ai travaillé à l’arrach’ le dernier jour. J’avais à peu près correctement bossé depuis un mois, c'est-à-dire que j’avais été effectif 15 jours sur 30, à cause d’une démotivation passagère accentuée par mes résultats laborieux du second semestre. La veille de l’examen j’ai quand même voulu arriver au bout de mes révisions. J’avais revu l’Ecole de Chicago et Georg Simmel. Il me restait Max Weber à étudier. Plus intéressant que Simmel, je menai la lecture du livre de Pierre-Jean Simon  «Histoire de la sociologie» sur le sujet à son terme. Le sujet fut pile-poil sur Weber. Je pense avoir la moyenne.<o:p></o:p>

    La mondialisation, les étapes et les acteurs du processus de mondialisation engagé depuis le début du 19ème siècle. J’ai parlé de la révolution industrielle, des progrès techniques et scientifiques, de l’accélération de l’information et du transport de marchandises et de personnes, glissant le terme de prolétariat mondial dans la copie. J’ai conclu par le modèle libéral devenant de plus en plus un modèle politique et culturel. Ça me semble pas trop pourri. J’ai eu 4 en mai, là je suis sur d’avoir plus ! Et pourquoi pas la moyenne.<o:p></o:p>

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    Enquête modèles en sociologie. Examen ce matin à 10 h 30. Rien comme cours, juste un document téléchargé sur Wikipédia il y a un mois, sur les méthodes qualitatives. Une lecture assidue ce matin 1h30 avant l’épreuve, une fiche un peu relue juste avant le cours pour bien me rappeler de deux trois noms et anecdotes ; Malinowsky, Roethisligger, les 5 méthodes qualitatives, une critique en tête pour chaque. Le sujet : une expérience de son choix à narrer, expliquer et critiquer. Je suis ressorti avec la banane. Sans doute pas l’œuvre de ma vie, mais j’ai quand même l’impression d’avoir été cohérent, didactique et relativement dans le sujet pendant presque trois pages. D’un 8 en Mai, je vais peut-être passer à un 10, et pourquoi pas tiens, j’annonce 14, par pure intuition.<o:p></o:p>

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    Nettement moins brillant en « concepts de la socio-anthropologie ». Feuille blanche tout simplement, mon seul véritable échec de ses rattrapages. Je n’ai pas eu le cœur à réviser la veille, préférant regarder les trois épisodes des « Experts » avec Léa. De plus le sujet était d’un hermétisme  absolu pour quiconque n’avait pas vu le cours « les catégories d’assignation et d’identification ».<o:p></o:p>

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    La matière la plus improbable enfin, et la réalité de la bureaucratie administrative en pleine face : une bande d’incapables imbus d’eux-mêmes et sourds à toute demande. Par chance, le con de la vie scolaire que visiblement j’emmerdais, se sentis obligé de m’emmener voir une femme qui me réconcilia avec l’Administration, pieuvre infâme. Jolie, une voix très douce, un cœur à rendre service et un esprit à connaître son boulot sur le bout des doigts. Pas l’ombre de la moindre pédanterie ni même de la plus infime suffisance. Transcendant tellement l’organisme pour lequel elle travaillait que le responsable de la vie scolaire en vînt par mimétisme à me prodiguer toute l’attention que mon cas réclamait !<o:p></o:p>

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    Et quel était mon souci ??<o:p></o:p>

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    Petit rappel des faits ! Au mois d’avril j’ai choisi dans l’urgence ma langue et les deux matières de culture générale (mondialisation et histoire des idées politiques contemporaines). Suite à mes premiers partiels de mai et ayant constaté que je m’étais retrouvé en « histoire des idées politiques modernes », je suis retourné voir la femme noire affable, enfin c’est l’impression qu’elle laissait. Elle me dit que c’était possible de revenir en « idées politiques contemporaines », croyant à un revirement intellectuel de ma part. J’ai cessé de vouloir la convaincre de l’erreur de saisie initiale après trente seconde (soit qu’elle avait mal recopié le code, soit que je m’étais trompé de ligne, mais après tout aujourd’hui on s’en fouttait) tant sa certitude était établi. Elle eu une personne compétente au bout du fil, elle modifia le code de la matière en face de mon nom, j’attendis même qu’elle me le montre effectivement sur son écran, je la sentais qui se contenait.<o:p></o:p>

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    Le mois suivant, nous sommes donc le jeudi 19 juin et je sors de mon deuxième examen d’italien aux alentours de 10h15. Je me rends au bureau de la scolarité, je constate avec joie qu’il faut prendre rendez-vous par téléphone avec M Martin et que les entretiens n’ont lieu la semaine qu’entre 14h et 15h30. Je me dis que ces gens là peuvent bien bosser jusqu’à 65 ans. En redescendant dans la cour je vois M martin en train de discuter avec un employé. Je me permets de l’interrompre pour le problème de mes deux matières qui tombent le même jour à le même heure. Et là, j’ai affaire à un mur. C’est flagrant comme je l’emmerde. Mais bon, nous sommes tous polis. Il est à deux enjambées du bureau d’une collègue, je le suis, il lui fait taper mon nom, et là miracle, je suis toujours en « histoire des idées politiques modernes ».<o:p></o:p>

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    J’explique mon cas, la secrétaire de la vie scolaire que j’ai vu en avril, puis que j’ai revu après les premiers partiels de mai pour corriger l’erreur et m’inscrire en « idées politiques contemporaines ». Je rappelle qu’elle a accédé à ma demande sans sourciller. Que si ça n’avait pas été possible qu’il aurait juste suffit de me le dire. Lui se retranche derrière le fait que les matières de culture générale sont à décider normalement le 15 février dernier délai. Je tente de garder mon calme. Lui explique que pour moi ce n’est pas évident d’être au fait de la vie estudiantine du fait de mon emploi. Il m’assène que la responsable de la vie scolaire n’avait pas à me changer après les premiers partiels de mai. Il me dit que je n’ai d’autres choix que de passer la matière « histoire des idées politiques modernes ». Il m’emmène voir une autre secrétaire, je réexplique mon cas, cette fois la personne et douce à regarder et à entendre. Elle m’écoute, elle enregistre ce que je lui dis. M Martin lui fait ouvrir mon profil. Tous deux jettent un œil sur mes notes. Alors la belle personne m’annonce que tout est encore possible, que j’ai passé un bon premier semestre, que je peux encore avoir mon année. Je lui demande de préciser. Je pose une question, elle m’explique et s’emballe à ma place. « Vous êtes bon en socio » lâche t-elle à la vue de mon 15 et de mon 14. J’ai un flash d’une seconde ou je la vois à poil me dire que je suis bon. Cette femme doit être une furie au lit. Elle m’explique des choses et me fait voir mon passage de manière nettement moins compromettante. J’apprends que la langue est coefficient 2 et l’informatique seulement 1, et que ces deux matières ne forment qu’une note, je réalise tout à coup que le premier semestre est pour ainsi dire validé. J’apprends ensuite qu’il faut avoir la moyenne à l’année, et que par conséquent mes notes du second semestre son compensées par celles du premier. Elle me rassure, elle me dit avec raison ce que j’ai besoin d’entendre. Si je peux remonter mon 4 en mondialisation et obtenir quelques points en « histoire des idées politiques modernes » mon passage en deuxième année est possible. Le con de M Martin déclare qu’on a toujours quelque chose à dire dans une matière. Je lui rétorque que mes cours de lycée sur le sujet sont très loin. M Martin, un con de plus dans ce monde de merde. La secrétaire me dit comprendre mon souci, mais me rassure une fois de plus en ma faisant réaliser qu’il me faut juste remonter quelques notes pour valider ma deuxième année. Je ressors rasséréné et avec une forte envie de foutre un coup de boule à M Martin. Mais bon, je suis poli.<o:p></o:p>

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    La matière en l’espèce. Je la passe dés le lendemain à 11 heures. Et contrairement au mois de mai ou le sujet ne me permis pas de m’exprimer, là je suis heureux de pondre un truc sur « les limites et les obstacles à l’autorité royale dans <st1:personname productid="la France" w:st="on">la France</st1:personname> moderne ». Bon ça vaudra ce que ça vaudra, mais en ayant parlé du siècle des Lumières, des fastes de la vie royale et des guerres qui obèrent le pays, j’aurais peut être une note honorable.<o:p></o:p>

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    L’année est torchée. Au pire je valide mon premier semestre, et passerai le second l’année prochaine, et j’aurais tout l’été pour me cultiver. Au mieux, ma première année est acquise, et l’année prochaine, je narguerai la connasse d’Aurélie qui me planta le 10 décembre 2007.<o:p></o:p>

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    Mes autres projets pour cet été. Régime ! Eh oui, j’ai atteint le poids record de 98 kilos. Et pour 1 mètre 70, c’est clair que je suis à présent dans la classe obèse. Ce soir dernier repas pantagruélique avec Léa et une amie. Dés demain je me mets au sport. Moyens : vélo ou marche tous les jours. Et si le temps et les finances le permettent, je m’inscrirai un trimestre dans un club de sport. Alimentation : régime hyper protéiné (légumes et viandes blanches ou poisson maigre). Objectif, perdre 15 kilos avant la fin septembre.<o:p></o:p>

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    Autre projet : relire mon journal sur mon dernier métier d’ambulancier, arranger des choses et tenter des envois en maison d’édition. On ne sait jamais.<o:p></o:p>

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    Cela fait plus d’une heure que j’écris en musique sur l’ordinateur de Léa. J’emmène le mien à réparer dans une poignée de minutes. Je repense à toutes ces magnifiques filles que le soleil rend désirable. Je suis un peu frustré par mon âge. Parfois dans la rue je dois vraiment avoir l’air d’un pervers avec mon regard désemparé et mon gros bide. Néanmoins je suis heureux de la tournure que prend cette année. Déménagement à la campagne. Naissance du bébé pour la fin décembre. Et une deuxième année de plus en plus accessible. Mais déjà le premier semestre validé, et je serai content.<o:p></o:p>

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    Restons confiant !! <o:p></o:p><script type="text/javascript"> var gaJsHost = (( "https:" == document.location.protocol)? "https: / / ssl.": "http://www."); document.write (unescape ( "% 3Cscript src = '" + gaJsHost + "google-analytics.com/ga.js' type = 'text / javascript'% 3E% 3C/script% 3E")); </ script> <script type="text/javascript"> try ( var pageTracker = _gat._getTracker ( "UA-15005578-1"); pageTracker._trackPageview (); ) Catch (err) () </ script>


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