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    Remarque : la photo est affichée en plus grand format dans la rubrique "photos"!

     

    Mercredi 16 :<o:p></o:p>

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    Soupirs !!! A moi la deuxième année ! Mais bon Dieu j’ai intérêt à arrêter de glander et à m’organiser autrement ; car bordel, j’ai quand même eu chaud au cul !!!

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    Cela fait une semaine que je consulte tous les jours le site de la faculté. J’ai enfin pris le temps de valider mon espace personnel et ainsi de voir au plus vite mes résultats. Je savais que les notes devaient tomber autour du 15.<o:p></o:p>

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    Ce week-end, suite à une entorse bénigne provoquée lors d’une marche sportive dans les bois, j’étais dispensé de mon emploi. On en a profité, Léa et moi, pour aller rendre visite à sa famille. Nous sommes partis avec Daniel, le frère de Léa, qui était tout fier de nous emmener dans sa voiture tuné. Le week-end fût un régal. C’était toujours avec plaisir que je voyais ses parents. Je réussis à ne pas trop me goinfrer. Je bus raisonnablement whiskys et vins. Je dormis comme un loir. Et j’eux plaisir à reluquer deux cousines à Daniel qui vinrent lui rendre visite.<o:p></o:p>

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    Depuis le samedi, jour de notre départ (Daniel travaillant jusqu’au soir) je connaissais quelques unes de mes notes. Et je fus irrémédiablement amer en réalisant que les matières dites « transversales » me firent plus de mal que de bien. L’italien tout d’abord. Persuadé d’avoir au moins 14, j’éprouvai le froid de l’injustice me glacer le sang à la vue de ce minable 8.5. Note d’autant plus incompréhensible que j’obtins un 11 pour l’italien du second semestre (normalement plus difficile que l’examen du premier). <o:p></o:p>

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    Autre cortège de notes ubuesques. Cette fichue mondialisation et ce vieux 6 tout pourri. 2 points de mieux qu’en mai. J’avais lu au trois-quarts le bouquin recommandé sur le coton d’Eric Orsena (bien nul à mon sens). Alors que pour l’histoire des idées politiques modernes (matière à débat depuis 2 mois car j’aurais du me retrouver en histoire des idées politiques contemporaines, et au demeurant, matière que je ne pris même pas le soin de potasser une heure et dont mes seuls souvenirs remontaient à ma période du lycée et matière enfin pour laquelle je n’avais pas franchement de sympathie) j’obtins la note incroyable de 10 sur 20. La mondialisation, sujet sans doute vaste et intéressant, et le prof qui va avec et que j’aperçus lors de son dernier cours en mai, est une belle auto-pignolade. Il doit avoir la tête comme un melon à se prendre pour le prof du monde, car de la mondialisation au monde il n’y a qu’un pas que ce vieux beau cravaté, grand et mince aura franchi depuis longtemps. Matière transversale, mon cul. L’année prochaine je tâcherai, comme me l’avait conseillé tardivement un des rares étudiants que j’avais osé accoster cette année, de prendre des matières qui ne risquent pas de me foutre dans la mouise. En résumé, le prof de mondialisation se gargarise de son cours de bobo, ce n’est qu’un con arrogant. Je suis très subjectif, je vous l’accorde, mais ça fait du bien de se lâcher.<o:p></o:p>

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    Autre surprise lorsque je réalisai que pour les sessions de rattrapage la faculté remet à zéro le compteur des notes inférieures à 10. Et moi qui ai rendu feuille blanche en « concepts fondamentaux de la socio-anthropologie ». Annulé mon 7 obtenu en mai. Il m’aurait fait un bien fou pourtant. Et comment ont-ils pu trouver 4 points à ma copie blanche ??<o:p></o:p>

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    Bref je suis content mais aussi très irrité à l’idée que mon année aurait pu être bêtement compromise par un manque de stratégie bêta de ma part et d’informations minimales sur le déroulement des épreuves et l’attribution des points.<o:p></o:p>

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    Bilan de cette année :

     

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    <o:p> </o:p>Soyons honnête, je n’ai pas travaillé à hauteur de ce que j’aurai dû et pu travailler. Je me suis pas mal reposé sur mes lauriers. Et j’ai trop attendu le dernier moment pour faire les choses. C’est passé !! De justesse !! Ce n’est pas ainsi que j’irai jusqu’au doctorat. C’est bien simple, contrairement à des étudiants sérieux qui cette année ont dû lire quelques livres recommandés par les profs, je n’en ai pas terminé un seul, me focalisant d’ailleurs sur un seul ouvrage pour mes révisions : « Histoire de la sociologie » de Pierre-Jean Simon. Livre au demeurant très fourni et didactique.<o:p></o:p>

     

    La console et l’incroyable aventure du xboxlive au travers du meilleur jeu de tir de tous les temps (Halo en solo, puis Halo 2 et depuis l’année dernière Halo 3) n’auront pas eu raison de moi. Ce fut très dur de m’en défaire. Pour être franc, à 30 ans passés, j’ai même versé ma larme lorsque je me suis résolu à ranger ce bijou de technologie. Toutes ces heures à me battre en réseau, ces graphismes somptueux, tous ces souvenirs dans la peau de Master Chief. Toutes ces parties endiablées. Ces modes de jeu variés, ces cartes tantôt immenses, tantôt confinées. C’était comme emmurer vivant une partie importante de moi et qui ne s’éteindra jamais. Le carton est à côté du bureau. Je regarde encore souvent des matchs de pro-gamers américains sur le site de <st1:personname productid="la MLG" w:st="on">la MLG</st1:personname>, je me tiens au courant de la communauté française sur Halo.fr ou Halorigine. Je sais que j’y reviendrai un jour. Mais je sais aussi, comme lorsqu’on revient sur le lieu de son enfance, que ça n’aura plus jamais le même goût. Je suis inconsolable quelque part de cette irrémédiable perte.<o:p></o:p>

     

    Depuis mes résultats je n’ai fait que musarder à l’appart entre l’ordinateur et la télé. Ça me rappelle ma procrastination de mars et avril. Ce fantôme me terrifie car je n’ai aucune prise sur lui. Mon sort c’est « coup de pied au cul à chaque heure » pour arriver à quelque chose. Ce serait plus simple si je vivais de ce que j’aime. Mais j’aime trop de truc pas assez sérieusement pour me sentir porter. La gravité m’écrase.<o:p></o:p>

     

    Régime : peu mieux faire. Après un début en fanfare, je stagne un peu depuis 10 jours. Une faiblesse de rigueur dans l’alimentation. Mais je reste confiant. J’en ai trop marre de ce gros porc que je vois dans la glace.<o:p></o:p>

     

    Déménagement : encore un bon mois. Les cartons sont déjà là, il ne reste plus qu’à les remplir.<o:p></o:p>

     

    Naissance du bébé. Léa devrait accoucher autour du 20 décembre. Je suis toujours en train de dire "elle" et ma belle-mère à rêvé d'une petite fille. On sera fixé sur le sexe à l'occasion de la prochaine échographie en août. J'imagine parfois la petiote en pro-gameuse en train de massacrer son père sur Halo. Mais il faudra déjà qu’elle ait de bonnes notes à l’école.

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    Demain soir je retourne au taf. En principe c’est mon dernier week-end complet. Si le noir en formation s’est fait au boulot et à passé le cap de Josiane le matin, il devrait être intégré au planning pour le week-end du 20 et moi je reviendrai à mon contrat initial (2 nuits par semaine).<o:p></o:p>

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    J’en ai marre de tous ces jobs à la con que j’ai pu exercer.<o:p></o:p>

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    Allez. J’arrête de me plaindre. J’ai quand même eu ma première année de sociologie, ce qui était mon objectif principal cette année. Léa me soutient. L’année qui vient est pleine de promesses. Restons zen !! <o:p></o:p><script type="text/javascript"> var gaJsHost = (( "https:" == document.location.protocol)? "https: / / ssl.": "http://www."); document.write (unescape ( "% 3Cscript src = '" + gaJsHost + "google-analytics.com/ga.js' type = 'text / javascript'% 3E% 3C/script% 3E")); </ script> <script type="text/javascript"> try ( var pageTracker = _gat._getTracker ( "UA-15005578-1"); pageTracker._trackPageview (); ) Catch (err) () </ script>


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