• 07-JUILLET 10

     

    Du 1er au 31 :

    Carpe Diem sans pognon mais détendu.

    Un mois sans réelle teneur autre que d'avoir profiter de la vie, de ma fille et du reste sans trop m'inquiéter du désert financier dans lequel moi et Léa baignons toujours, puisque malgré tout l'air est encore respirable.

    J'ai été amené à revoir deux fois ce mois-ci le mari de ma banquière, le spécialiste des questions urbaines. Il s'avère qu'il a un DEA de sociologie mais qu'il n'est pas à proprement parler sociologue puisqu'il n'a pas passé de doctorat (l'idée le taraude depuis peu de terminer son cursus). Ce fut très intéressant à chaque fois, il ressortit de nos entrevues que son métier se rapproche plus d'un artisan de la compréhension des faits sociaux urbains qui doit échafauder ses propres moyens d'enquête et d'analyse, et quelque part c'est ce qui fait la richesse de son travail, puisque quelque part pionner dans son domaine il a du tâtonner pour trouver des méthodes ou en améliorer d'autres existantes afin d'obtenir une vision la plus complète et juste du phénomènes d'implantations des citées HLM en France afin d'en pointer justement les carences et les problèmes de façon suffisamment pertinente et patente pour ensuite créer une synergie d'actions de tous les acteurs, de la politique de la ville concernée jusqu'aux résidents. J'étais en demande à chaque fois, j'imaginais qu'il pourrait me proposer de menus travaux, comme de la saisie de données ou de petites réflexions sur des questions qui apparaissaient sur son domaine de recherche, il m'a semblé, tout à son honneur, embarrassé pour moi puisqu'il ne savait pas trop comment me solliciter et me faire faire des choses à la fois utiles pour moi et pas complètement inutiles pour lui. Ceci étant du au fait que son domaine de recherche était le fruit d'une connaissance assez vaste du terrain social et d'outils propres à lui et à sa façon de faire, donc difficilement utilisables par un autre sans passer par un travail à temps plein sous sa responsabilité pendant assez de temps. On s'est donc quitté, ravi, je pense, d'avoir pu partager quelques moments de connivences intellectuelles, j'avais, dans mes notes, notées quelques pistes de réflexions, quelques titres de livres et de magazine et quelques remarques. Je me suis engagé depuis (puisque je sais qu'il ne cherchera pas à me revoir) à lui donner de temps en temps des nouvelles dans le sens d'une portée de son discours dans mon chemin personnel, afin d'entretenir mon souvenir et peut-être l'inciter un jour à faire appelle à moi, on ne sait jamais. J'achèterai de temps en temps le mensuel : Alternatives économiques qu'il m'avait conseillé de consulter, je lirai les ouvrages qu'il avait en tête et lui ferai part de mes remarques, ainsi aura t-il le sentiment de m'avoir apporté quelque chose, ce qui le rendra plus enclin à penser à moi en d'autres occasions.

    Sinon mon enquête est toujours au point mort, la faute m'en incombe totalement, mais je n'ai toujours pas abandonné l'idée.

    J'ai remis en jachère ma console chez Daniel mon beauf. Afin de ne pas trop souffrir de cette séparation, j'ai filmé moult matchs dont voici quelques petits montages.

    Ici un petit montage avec musique et ralenti. Je domine bien le jeu et fini en apothéose avec un headshot en no scope pour le dernier kill :

     

    Et là, un autre match, tout aussi tendu ou je réussis pas moins à coller à 5 reprises une plasma à mon adversaire :

    Sinon, comme le restaurant de l'hôtel est fermé pour travaux jusqu'au 6 août, j'ai travaillé de journée et sans trop me fatiguer, bénéficiant, ici d'une semaine sans les boss, là d'une journée tranqu illeavec ma collègue Josiane à faire payer les clients et leur filer leurs clés.

    Bref, je suis arrivé sereinement à mes vacances estivales qui ont débuté le jeudi 19 juillet.

     

    Samedi 24 :

    Vacances à Quiberon.

    Cette semaine était planifiée depuis l'année dernière par les parents de Léa. Ils avaient réservés deux mobile-homes dans le joli Camping du Conguel en Bretagne sur la presqu'île de Quiberon. Nous étions dix en tout, entre le frère et la soeur de Léa, leurs moitiés respectives, et les deux gosses. Ma voiture étant toujours sujette aux pannes lorsqu'il pleut, nous nous résolûmes à partir depuis chez ses parents non pas à trois voitures comme prévu, mais à deux, celle des parents et celle de sa soeur. Un peu serré dans le gros break Citroën de Régis et Georgette, on réussi à dormir pendant le trajet, Léa et moi. Clara , comme à l'accoutumée, fût très agréable pendant le trajet. Partis dans la nuit, on fit une pause petit-déjeuner au petit matin à 3 heures de l'arrivée. La semaine fut formidable, promenades avec Léa en vélo, sport le matin (petite salle de muscu – je réussi un max à 90kg au développé couché) piscine au camping, mer un peu trop froide à mon goût mais je réussi à me baigner quelques fois. Les femmes préparaient de bons plats midi et soir, et avec Régis, Gérard et Daniel c'était apéros à rallonge. Bien décidé à en profiter, j'ai terminé a peu près rond à chaque repas. Clara était trop heureuse de voir la mer.

    On pris centaines de clichés. Vraiment un semaine revigorante à tout points de vues.

    Clara, le dernier jour sur la grande plage de Quiberon :

    Quelques photos.

    De quiberon et de la côte sauvage :

     

    Et de ma Puce pour terminer :


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